Les oiseaux sont joyeux, le printemps fait la fête,
Les arbres ont revêtu leurs plus belles couleurs,
L’air tiède est embaumé par toutes les fleurettes
Et le ciel qui moutonne annonce la tiédeur…
C’est un matin heureux rempli de jolis rêves,
Un de ces jours bénis où tout semble flotter.
Je me laisse voguer, goûtant à cette trêve
D’un bonheur retrouvé qui me voit apaisée…
Je guette tous les bruits que l’aube fera naître,
Au loin, un chien aboie et des voix en écho
Ramènent cette vie quand j’ouvre la fenêtre
Pour emplir mes poumons ! Dieu que le ciel est beau !
Je renais! Et mes maux s’en vont à tire-d’aile
Face à ce désir fou de croire en mon destin
Car je sais que mon coeur, comme une jouvencelle
Veut conquérir celui dont je retiens la main…
Il est là, alangui dans nos draps de tendresse
Son souffle si ténu me paraît irréel,
J’observe son corps fin couvert par mes caresses,
L’amour qui est en moi a un goût d’éternel…
Je l’ai cherchée partout, cette part de moi-même
Et j’ai souffert parfois à trop vouloir chérir
Des ombres que le vent décrivait en poèmes,
Alors qu’elles ne voulaient que me faire périr…
Doucement, je reviens me blottir contre lui ,
La douceur de sa peau est mon plus cher trésor.
Désormais, je vais vivre et, jusqu’à l’infini,
Je dirai « je suis bien » et j’oublierai ses torts…
Les arbres ont revêtu leurs plus belles couleurs,
L’air tiède est embaumé par toutes les fleurettes
Et le ciel qui moutonne annonce la tiédeur…
C’est un matin heureux rempli de jolis rêves,
Un de ces jours bénis où tout semble flotter.
Je me laisse voguer, goûtant à cette trêve
D’un bonheur retrouvé qui me voit apaisée…
Je guette tous les bruits que l’aube fera naître,
Au loin, un chien aboie et des voix en écho
Ramènent cette vie quand j’ouvre la fenêtre
Pour emplir mes poumons ! Dieu que le ciel est beau !
Je renais! Et mes maux s’en vont à tire-d’aile
Face à ce désir fou de croire en mon destin
Car je sais que mon coeur, comme une jouvencelle
Veut conquérir celui dont je retiens la main…
Il est là, alangui dans nos draps de tendresse
Son souffle si ténu me paraît irréel,
J’observe son corps fin couvert par mes caresses,
L’amour qui est en moi a un goût d’éternel…
Je l’ai cherchée partout, cette part de moi-même
Et j’ai souffert parfois à trop vouloir chérir
Des ombres que le vent décrivait en poèmes,
Alors qu’elles ne voulaient que me faire périr…
Doucement, je reviens me blottir contre lui ,
La douceur de sa peau est mon plus cher trésor.
Désormais, je vais vivre et, jusqu’à l’infini,
Je dirai « je suis bien » et j’oublierai ses torts…
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Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
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