Jamais je n’aurais cru qu’un ciel rempli d’étoiles
Pourrait se refléter en entier dans tes yeux,
Quand tu as pris ma main et soulevé le voile
Qui couvrait mon visage en cet instant heureux…
Dans la petite église caressée par le vent,
Enveloppée de brume au milieu des charmilles
Quelques amis choisis assis sur les vieux bancs
Étaient venus combler l’absence des familles…
Je pouvais voir les ombres de tous ces amoureux,
Qui comme nous un jour avaient uni leurs rêves,
Et j’entendais monter le chant mélodieux
De leurs âmes apaisées en ces heures si brèves…
Mon regard embué d’un bonheur indicible
Se posait sur tes lèvres qui distillaient leur flamme
Et le son de ma voix fragile, à peine audible
Répétait en écho à ces mots « sois ma femme »…
Devant l’autel fleuri de douces fleurs jasmin,
Le vieux prêtre a béni cette union impossible,
Car les ans sur ma vie étaient bien loin des tiens
Et je savais l’opprobre lancé sur nous en cible…
Pourtant, tu me prouvais qu’il faut croire au destin
Et que les différences ne sont qu’imaginaires,
Car devant le Bon Dieu, il n’est plus d’incertain
On s’aime et cet amour devient le seul repère…
Depuis ce jour béni où tu mis à mon doigt
Cet anneau d’infini avec nos noms gravés,
Je m’endors dans tes bras et je me dis tout bas
Que c'est toi le seul homme pour qui je fus créée...
Pourrait se refléter en entier dans tes yeux,
Quand tu as pris ma main et soulevé le voile
Qui couvrait mon visage en cet instant heureux…
Dans la petite église caressée par le vent,
Enveloppée de brume au milieu des charmilles
Quelques amis choisis assis sur les vieux bancs
Étaient venus combler l’absence des familles…
Je pouvais voir les ombres de tous ces amoureux,
Qui comme nous un jour avaient uni leurs rêves,
Et j’entendais monter le chant mélodieux
De leurs âmes apaisées en ces heures si brèves…
Mon regard embué d’un bonheur indicible
Se posait sur tes lèvres qui distillaient leur flamme
Et le son de ma voix fragile, à peine audible
Répétait en écho à ces mots « sois ma femme »…
Devant l’autel fleuri de douces fleurs jasmin,
Le vieux prêtre a béni cette union impossible,
Car les ans sur ma vie étaient bien loin des tiens
Et je savais l’opprobre lancé sur nous en cible…
Pourtant, tu me prouvais qu’il faut croire au destin
Et que les différences ne sont qu’imaginaires,
Car devant le Bon Dieu, il n’est plus d’incertain
On s’aime et cet amour devient le seul repère…
Depuis ce jour béni où tu mis à mon doigt
Cet anneau d’infini avec nos noms gravés,
Je m’endors dans tes bras et je me dis tout bas
Que c'est toi le seul homme pour qui je fus créée...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
Fugitive