
L’amour à l’infini, sans tabous, sans problèmes,
Aussi fort que la pluie qui mouille nos je t’aime,
Puissant, dévastateur, torride, inaccessible,
Furieux, noyant les parques voilant imprévisible…
Et sur nos corps les marques divinement possibles
D’un désir insensé frôlant l’inadmissible.
Effaçant les toujours, espérant les non-dits,
Jusqu’au bout de la nuit, jusqu’au noir de la vie
Heureux et malheureux, ivres dans l’indécence,
Riches parmi les gueux, pauvres dans l’opulence
Mêlés intimement, perdus, évanescents,
Fous assoiffés de tout, affamés de tendresse
Ne regardant que nous, ignorant la détresse,
Mais doux de nos baisers, lovés dans nos caresses,
Enfants au coeur léger refusant qu’on délaisse
Cet espoir absolu ancré au fond des âges,
S’aimer sans en douter. S’aimer après l’orage…
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Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
Fugitive