Le vent gémit souffle misère
La pluie tombe sur mes pensées
Et dans la nuit froide et austère
Ton regard revient me hanter.
Tu étais si belle ma femme
Comment ai-je pu t'oublier
Pour ces filles froides et sans âme
Qui n'étaient que mal et péché.
Ton départ a brisé la flamme
Qui allumait de feu l'hiver
Et je reste seul et me damne
En te perdant, j'ai mon enfer.
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Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
Fugitive