
Quand mon corps n’aura plus d’ombre sur cette terre
Et que mes larmes enfin ne seront qu’eau de pluie,
Tu songeras un jour à celle qui naguère
Te donna son amour comme on offre la vie.
Cette fille venue pour combler la carence
Que d’autres avaient laissé en ton cœur démuni,
N’aura eu d’autre but jusqu’à sa délivrance
Qu’effacer de tes yeux tous les nuages gris.
Alors, tu te diras, en voyant son image
Que ses cheveux encore sont bien désordonnés
Mais que son rire éclaire à jamais tes mirages
Et préserve l’amour qu’elle t’a tant donné…
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Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
Fugitive