Aime-moi, conduis-moi jusqu’à la citadelle
Où les amants unis viennent se reposer,
Comme en un lieu sacré, une ville éternelle
Cachés des yeux profanes qui voudraient la violer…
Dans son cœur diamant, mets des mots si précieux
Que toutes les richesses deviennent grain de sable,
Grave nos deux prénoms pour qu’au-delà des cieux
Nous ne formions qu’un seul dans ce monde insatiable…
S’il advient que nos mains se séparent un jour
Que je parte sans toi, que mon regard s’éteigne,
Sur cette vie douleur sans espoir de retour
Je veux que tu avances en oubliant ta peine…
C’est si bon de savoir que toutes les merveilles
Que nous avons vécues continuent d’éclairer,
Nos nuits et que demain au bout de tant de veilles
Nous garderons l’image d’une vie sans regret…
Tu m’as donné bien plus que je ne saurai dire
Avec tes maladresses tu as créé un livre,
Des larmes ont coulé, mais aussi bien des rires
Qui nous ont fait tanguer comme en un bateau ivre…
J’ai si peur à présent je me vois si fragile
Cernée par tout ce mal qui envahit mon corps,
Et ma plume s’englue dans des mots malhabiles
Mon amour de ta flamme éclaire moi encor…
Où les amants unis viennent se reposer,
Comme en un lieu sacré, une ville éternelle
Cachés des yeux profanes qui voudraient la violer…
Dans son cœur diamant, mets des mots si précieux
Que toutes les richesses deviennent grain de sable,
Grave nos deux prénoms pour qu’au-delà des cieux
Nous ne formions qu’un seul dans ce monde insatiable…
S’il advient que nos mains se séparent un jour
Que je parte sans toi, que mon regard s’éteigne,
Sur cette vie douleur sans espoir de retour
Je veux que tu avances en oubliant ta peine…
C’est si bon de savoir que toutes les merveilles
Que nous avons vécues continuent d’éclairer,
Nos nuits et que demain au bout de tant de veilles
Nous garderons l’image d’une vie sans regret…
Tu m’as donné bien plus que je ne saurai dire
Avec tes maladresses tu as créé un livre,
Des larmes ont coulé, mais aussi bien des rires
Qui nous ont fait tanguer comme en un bateau ivre…
J’ai si peur à présent je me vois si fragile
Cernée par tout ce mal qui envahit mon corps,
Et ma plume s’englue dans des mots malhabiles
Mon amour de ta flamme éclaire moi encor…
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Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
Fugitive