Un jour, je n’aurai plus que des maux pour le dire,
Des mots que j’écrirais en sachant qu’il est temps
De reposer mes yeux avant que le délire
Ne vienne dévaster mes souvenirs d’antan…
Un jour, nous serons deux, effaçant les chimères
Que ces autres ont laissées au creux de notre lit,
Et nos corps apaisés briseront les frontières
Pour franchir ces délires qui allument nos vies…
Ce jour-là, nos deux coeurs se mettant en exergue
D’un monde où, pour s’aimer, il faut se perdre aussi,
Auront enfin compris que marcher dans un erg
N’apporte que le vide qui du ciel vous bannit…
Saurons-nous voir l’amour au fond de cet outrage
Qui dévasta les ans nous laissant affaiblis ?
Pour que de cet enfer où nous étions en cage
Il nous reste l’espoir d’un passé qui s’oublie…
Peut-être en soupirant baisserons-nous la tête
Et les larmes en ruisseau couleront sur nos joues
En songeant à ce temps qui n’était que la quête
De ce bonheur nouveau qui à nos mains se noue.
Des mots que j’écrirais en sachant qu’il est temps
De reposer mes yeux avant que le délire
Ne vienne dévaster mes souvenirs d’antan…
Un jour, nous serons deux, effaçant les chimères
Que ces autres ont laissées au creux de notre lit,
Et nos corps apaisés briseront les frontières
Pour franchir ces délires qui allument nos vies…
Ce jour-là, nos deux coeurs se mettant en exergue
D’un monde où, pour s’aimer, il faut se perdre aussi,
Auront enfin compris que marcher dans un erg
N’apporte que le vide qui du ciel vous bannit…
Saurons-nous voir l’amour au fond de cet outrage
Qui dévasta les ans nous laissant affaiblis ?
Pour que de cet enfer où nous étions en cage
Il nous reste l’espoir d’un passé qui s’oublie…
Peut-être en soupirant baisserons-nous la tête
Et les larmes en ruisseau couleront sur nos joues
En songeant à ce temps qui n’était que la quête
De ce bonheur nouveau qui à nos mains se noue.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
Fugitive