lundi 27 août 2012

Prisonnière...



Les tendres mots d’amour comme les feuilles mortes 

Volent au vent léger partant vers les regrets, 
Leur passage s’efface et l’on ferme la porte 
Aux espoirs qui s’estompent sur le flot des jamais…

 Et l’on voit revenir peu à peu en mémoire 
Les promesses usées d’un temps qui est passé, 
Dans les cœurs fatigués se plantent des histoires 
Mais elles meurent en silence avant que d’exister…

 De tant de solitude qui nous restait à vivre 
On dessine des rêves qui ne vont pas durer 
Et nos pas se traînant ne peuvent plus poursuivre 
La route des douleurs où l’on marche enchaînés…

 Je vais garder en moi les ombres de l’image 
Que je croyais la tienne lorsque je t’ai aimé 
Et si mon cœur encore peut se trouver en cage 
Sache que de ma vie tu n’es plus geôlier…

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Merci de votre passage sur mon coin de rêve avec toute mon amitié... Poétiquement ...
Fugitive